Le fabricant travaille actuellement à un correctif empêchant l’éventuelle exploitation d’un trou de sécurité sur les Galaxy S2 et S3, Galaxy Note, Note 2 et Note 10.1. Une faille importante mais toutefois relativement peu dangereuse Certes, l’affaire détériore un tout petit peu l’image de marque de Samsung mais il s’agit d’être tout à fait honnête: afin de foutre en l’air son appareil, il est impératif de télécharger un logiciel en dehors du kiosque Google Play et de l’exécuter. Au pire, des applications déjà installées pourraient proposer une mise à jour profitant de cette faille mais le futur d’un éditeur peu scrupuleux serait évidemment compromis. Les utilisateurs des appareils concernés ne doivent donc pas s’inquiéter. Il reste peut-être qu’à n’utiliser des logiciels connus et sûrs. La faille exploite un espace du kernel insuffisamment protégé. Un accès à certaines données sensibles est possible et peut déboucher sur un déverrouillage du téléphone en une opération. Ce problème du processeur Exynos, faute d’être véritablement dangereux, porte très faiblement préjudice à Samsung auprès d’un public averti mais également auprès d’éventuels fournisseurs qui auraient souhaité utiliser cet élément dans leurs prochains smartphones. En effet, les Exynos sont conçus et produits par le fabricant coréen. Samsung promet de publier rapidement une solution à ce souci. Non pas parce qu’il y a un danger immédiat mais pour éviter de soulever l’enthousiasme de développeurs véreux souhaitant bousculer quelque peu le premier producteur mondial de smartphones. On en parle sur le forum