Patrick Pichette, le directeur financier du géant américain, a expliqué les longues périodes de pénurie par des prévisions de vente trop modestes. Lors de la traditionnelle conférence suivant l’annonce des résultats trimestriels, Google, par la voix de son CFO, a déclaré que « pendant que le Nexus 6 était très bien reçu en tant que nouveau téléphone, de réelles difficultés ont été constatées et l’entreprise a été incapable d’assurer un stock suffisant pour combler la demande initialement prévue ». Cependant, aucun chiffre n’a été dévoilé. Aujourd’hui parfaitement accessible sur le Play Store belge dans toutes ses variantes, il a été effectivement complexe de se procurer un exemplaire du Nexus 6 avant la fin de 2014. Le grand format, pourtant souvent décrié, et les quelques soucis techniques du début n’ont donc visiblement pas effrayé les consommateurs. Le Nexus 5, lui, ne connaît pas cette chance puisqu’il est actuellement en rupture de stock tandis que la tablette Nexus 9 est toujours disponible.