Alors qu’on arrive très doucement à la moitié des Jeux Olympiques de Paris 2024, les cyberattaques sont légion : au moins 68 auraient été interrompues selon le Premier ministre sortant Gabriel Attal. Les JO de Paris sont un évènement sous haute tension. Aussi était-il inévitable que de nombreuses attaques de tout type soient tentées contre celui-ci. Parmi celles-ci, les cyberattaques étaient probablement parmi les plus anticipées. À bientôt une semaine de la cérémonie d’ouverture, on en apprends un peu plus sur les tentatives d’attaques grâce au Premier ministre démissionnaire de la République française, Gabriel Attal. Il a en effet révélé ce mercredi qu’un total de 68 cyberattaques avaient déjà été déjouées contre l’évènement. Pour la plupart, il s’agit d’attaque par déni de services (DDoS), dont deux d’entre elles visaient spécifiquement les sites et infrastructures où les épreuves se déroulaient. Le Premier ministre se veut toutefois rassurant, appuyant sur le fait que toutes les attaques avaient pu être déjouées dans les temps. Pour rappel, une attaque par déni de service est une attaque informatique dont le but est, comme son nom l’indique, d’empêcher l’accès au service normalement fourni par un dispositif informatique. Il s’agit donc d’une cyberattaque paralysante, mais qui n’endommage pas les infrastructures informatiques, comme cela peut être le cas pour d’autres attaques plus sévères…