Il fait partie des hommes les plus riches sur le globe et détient une des multinationales les plus imposantes du monde, Jeff Bezos possède une carrière riche, au parcours atypique. À travers 10 anecdotes, découvrez (ou redécouvrez) le patron d’Amazon. “Bezos” est le nom de son père adoptif Les parents de Jeff Bezos étaient encore étudiants lorsqu’il est venu au monde. Sa mère n’avait que 16 ans, et son père 18. Celui-ci va très vite prendre la fuite. Ce sera quelques années plus tard que sa mère va faire la connaissance de Miguel Bezos. Ils vont se marier très vite, en 1968. Son père adoptif adopte officiellement Jeffrey peu de temps après. Voilà pourquoi le milliardaire se nomme Jeff Bezos, et non Jeffrey Jorgensen, qui était le nom de famille de son père biologique. Très vite, l’enfant va briller par son intelligence. À l’âge de 8 ans, on lui demande de passer un test de Q.I. Le résultat est décrit comme hors du commun. C’est bien simple, le petit Jeffrey était premier en tout. Et cela ne s’arrête pas là : lorsqu’il avait entre 3 et 4 ans, Jeff Bezos avait déjà utilisé un tournevis dans le but de retirer les barreaux de son lit. Anecdote pour le moins comique, mais qui montre à quel point il était en avance sur tout le monde. Il a créé sa première entreprise quand il était encore étudiant Cette image du petit génie va lui coller à la peau, et pour cause. Un été, il décide de travailler dans un McDonald’s pour se remplir les poches. Malheureusement, l’expérience ne lui a pas plu. Il va alors décider de créer, avec sa petite amie de l’époque, un camp d’éducation pour les jeunes enfants, le “dream institute” (ou “l’institut des rêves” en bon français) au cours de l’été suivant, dans le but de se faire de l’argent de poche, mais autrement. On y faisait quoi dans ce camp ? Et bien, il s’agissait d’un centre qui encourageait la pensée créative chez les jeunes étudiants. Il y a eu six inscrits. Cela peut sembler peu, mais le prix qu’il fallait débourser était considérable : 600$, rien que ça. Avant d’être une des personnes les plus riches du globe, il a travaillé dans le secteur bancaire En 1986, il est diplômé de la prestigieuse université de Princeton en sciences informatiques. À la suite de ses études, il opte pour des offres d’emploi dans des entreprises financières. Durant sa vingtaine, le futur milliardaire a travaillé dans un premier temps pour Fitel, une boîte de télécommunication, après avoir refusé plusieurs propositions chez Intel ou encore Bell Labs. Pendant deux ans, il a développé la néo-entreprise, en gravissant rapidement les échelons. Malheureusement, la start-up va peiner à réellement démarrer. Il a donc décidé d’accepter un emploi chez Banker’s Trust, qui fait aujourd’hui partie de la Deutsche Bank. Il va la aussi impressionner et rapidement devenir vice-résident. Deux ans après, il décide de quitter ce haut poste pour se consacrer à une nouvelle aventure… Amazon a commencé dans un garage C’est à tout juste 30 ans que Bezos va se lancer dans un périple qui va tout bonnement changer le cours de sa vie. Au revoir New York et Wall Street, bonjour Seattle ! Pourquoi cette ville ? Et bien parce que Seattle est considéré comme la capitale de l’innovation technologique à l’époque. On est en 1994, soit les tout débuts du web. Et Jeff Bezos flaire le bon coup. Mais les débuts sont rudimentaires. Le jeune trentenaire va donc installer sa start-up dans le garage d’une maison pavillonnaire traditionnelle de la banlieue de Seattle. On est encore loin de ce que deviendra Amazon. Son but premier était de créer une librairie en ligne Difficile à croire, mais la Start-up que Jeff Bezos voulait créer à l’origine, c’était tout bonnement une librairie virtuelle, qui devait porter le nom de Cadabra. L’objectif était simple : créer la plus grande librairie possible, et pouvoir acheter n’importe quel livre sur le Net. C’est par la suite que Jeff changera le nom en Amazon. Rien de mieux que le plus grand fleuve sur terre pour symboliser la plus grande librairie de tous les temps. Ses parents ont été les premiers à investir dans Amazon Amazon ne s’est pas fait tout seul. Il a fallu injecter de l’argent. Les parents ont été d’un soutien primordial pour Jeff. En effet, ils ont investi plus de 200.000 dollars dans Amazon, aux prémices du développement de la plateforme, soit en 1995. Le succès a tout de même été très rapide. le nombre de commandes ne cessait de croître toutes les semaines. Cette success story a évidemment rameuté toute une série d’investisseurs qui voyaient en Amazon une véritable poule aux œufs d’or. Cette grande arrivée de fonds a donné des ailes à Amazon. C’est donc en partie grâce à ça qu’Amazon a pu diversifier son catalogue, en proposant bien plus que des livres. La suite, vous la connaissez déjà. Il a joué dans Star Trek Jeff Bezos a définitivement un pied dans le cinéma. En plus de détenir le site IMDB, les studios MGM, ou la plateforme Prime Video, Jeff Bezos joue un officier alien dans le remake de 2016 Star Trek Beyond. Ce n’est pas un hasard, Jeff Bezos avoue avoir regardé en boucle tout les épisodes de Star Trek pendant son adolescence. Pour décrocher ce petit rôle, il a supplié plusieurs fois Paramount de réaliser son rêve. L’Arabie saoudite a espionné le milliardaire Une affaire a fait éclat en 2020. L’Arabie saoudite aurait piraté le téléphone du patron d’Amazon. Ce piratage se serait fait sur WhatsApp par l’intermédiaire du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane au sein de la discussion privée entre les deux interlocuteurs, à travers une vidéo infectée. Le Lex Luthor des temps modernes ? Aviez-vous déjà remarqué cette drôle de ressemblance ? Pour plusieurs internautes, Jeff Bezos serait en réalité le Lex Luthor de notre univers. En effet, les deux sont chauves, brillent par leur intelligence, et possèdent une fortune démesurée. De plus, Amazon propose des programmes qui vendent une mauvaise image de la Némésis de Lex Luthor, à savoir Superman : The Homelander dans la série à succès The Boys, mais aussi Omini-Man dans The Invincible. Un rire particulier Petite particularité de Jeff Bezos, c’est son rire bien singulier. À tel point que des compilations de rires pullulent sur le Net, tournant en dérision des moments de rires du multimilliardaire.