Pokémon Sleep débarque en Europe. Disponible depuis ce mercredi 19 juillet, l’application cherche à rendre notre sommeil ludique. Aidés de leur propre ronflex, les joueurs capturent des pokémons… en dormant. Pokémon Sleep est officiellement disponible en Europe, sur iOS et Android. Annoncée en 2019 par The Pokémon Company, l’application devait, à l’origine, être lancée l’année suivante. Une pandémie plus tard, la voici finalement. Comme son nom le suggère, Pokémon Sleep est une application de suivi du sommeil. On y retrouve donc tous les outils nécessaires pour mesurer la qualité de sa nuit et mesurer le temps passé à dormir. Le tout étant couplé à la capture de pokémonS. Des récompenses ajustées Au lancement du jeu, les joueurs font la connaissance d’un nouveau personnage : le Professeur Néroli. Ce spécialiste du sommeil pokémon vous offre alors un ronflex que vous devrez nourrir et chouchouter. La nuit tombée, le joueur réalise un score de sommeil. Lequel se cumule avec la puissance du ronflex pour déterminer quels pokémons ont été attirés. Évidemment, plus le score cumulé est élevé, plus les pokémons seront rares. Chacun possédant l’un des trois styles de sommeil générés par Pokémon Sleep. Les joueurs remplissent ainsi progressivement le Dododex du Professeur Néroli, si tant est qu’ils n’oublient pas de remercier les pokémons présents. L’un dans l’autre, ce jeu se destine avant tout aux fans de la franchise. Ou aux amateurs de ce type d’applications en général. Sans être un indispensable, Pokémon Sleep peut en convaincre certains. Tant par son côté mignon que par sa fonction, puisque l’application incite littéralement le joueur à être attentif à son temps de repos. Sommeil sous surveillance Néanmoins, quelques bémols sont à souligner. Premièrement, le smartphone utilisé doit rester branché, écran allumé et tourné vers le matelas. Ce qui implique de dormir avec son téléphone sous le nez. Pokémon Sleep se charge d’assombrir l’écran pour vous, mais la batterie pourrait ne pas apprécier cette utilisation prolongée. Sans parler des risques de surchauffe. Par ailleurs, le jeu rappelle qu’il enregistre parfois des moments de votre nuit pour mesurer la qualité du sommeil. Ce qui peut constituer un frein à l’installation, très logiquement. Pour ceux qui ne veulent pas simplement pas avoir recours à leur smartphone, il est à noter qu’un accessoire sera disponible dès le 21 juillet. Pour 60 euros, les curieux déterminés pourront donc se procurer le bracelet Pokémon Go Plus+.