Deux ans après le premier opus du reboot de Jumanji, avec Dwayne “The Rock” Johnson et Jack Black, le Docteur Smolder Bravestone et sa bande d’aventuriers revient. Une suite logique après l’immense succès en salle de Jumanji : Bienvenue dans la jungle. Après sa première excursion sous les traits du musculaire Docteur Bravestone, Spencer décide de réparer la console de jeux vidéo et de relancer une partie. Et comme le veut la tradition de Jumanji, que ce soit sur plateau ou en jeux vidéo, rien ne se passe comme prévu. Alors que Bethany, Bridge et Martha se rendent chez leur ami, ils tombent nez à nez avec le grand-père de ce dernier, joué par Danny DeVito. Alors qu’ils sont à la recherche de Spencer, les trois amis se rendent compte qu’il est à nouveau entré dans le jeu. Ils le suivent alors pour le ramener. Et là, rien ne se passe comme prévu… une fois de plus. Eddy, le grand-père de Spencer et son “ami” Milo Walker, se retrouvent eux aussi piégés dans le jeu. Les avatars du premier opus de la nouvelle version de Jumanji sont alors complètement chamboulés. Eddy devient le docteur bodybuildé interprété par Dwayne Johnson, Bridge devient le personnage joué par Jack Black. Le vieil homme qui cohabite avec Eddy, et interprété par Danny Glover, devient quant à lui Franklin « Mouse » Finbar, sous les traits de Kevin Hart. Le jeu les emmènera à la fois dans le désert ardent et dans les montagnes enneigées. Le groupe devra aussi affronter des babouins enragés en sautant de plateforme en plateforme, au-dessus d’un gouffre de plusieurs centaines de mètres à faire tourner la tête des personnes qui ont le vertige. Cette suite, appelée Jumanji : Next Level, qui promet déjà d’être aussi drôle et spectaculaire de le film de 2017 sera à nouveau réalisé par Jake Kasdan. Le scénario, quant à lui, est entre les mains de Scott Rosenberg et Jeff Pinkner. Il faudra attendre la fin de l’année 2019 pour découvrir ce qu’il advient de Spencer et surtout pour savoir si ce nouveau Jumanji, le troisième du nom, arrivera à la cheville de son prédécesseur. Celui-ci avait engrangé pas moins de 962 millions de dollars à travers le monde. Il fut d’ailleurs l’un des longs métrages les plus rentables de Sony Pictures.