Trois mois après une sortie bien accueillie aux États-Unis, l’appareil hybride premium de Microsoft, mi-notebook, mi-tablette, sera disponible dans 25 autres pays à la fin du mois. En présentant la Surface Pro 3 à la communauté high-tech le 20 mai, Microsoft soulignait que ce n’était ni un concurrent à l’iPad, ni une alternative aux tablettes prémiums d’Android. Selon le géant informatique, il s’agit tout simplement de la combinaison sans compromis des meilleures fonctionnalités d’une tablette et de ce qui fait du notebook un outil indispensable. Tout un programme. Sur le papier, ses fonctionnalités et ses performances (autonomie accrue, écran HD 12 pouces, processeurs Intel nouvelle génération, le tout dans un appareil pesant à peine 800 grammes) semblent faire le poids. Et une fois n’est pas coutume, en dehors de certaines critiques concernant le clavier et sa fâcheuse tendance à ne pas rester en position sur les genoux lors de l’utilisation en version notebook, les spécialistes se font l’écho de ces éloges. La commercialisation européenne coïncide avec la période de rentrée des classes. L’objet pourrait donc séduire les étudiants en quête d’un outil aussi maniable qu’une tablette mais doté d’un puissant processeur. Le produit sera commercialisé le 28 août en Europe (Autriche, Belgique, Danemark, Finlande, France, Allemagne, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Espagne, Suède, Suisse et Royaume-Uni) et arrivera le même jour en Asie (Chine, Hong Kong, Taïwan, Corée du sud, Thaïlande, Malaisie, Singapour), ainsi qu’en Australie et en Nouvelle-Zélande. AFP