Dans un entretien accordé à AllThingsD, Dennis Woodside justifie la fiche technique et le prix du Moto X par des performances inégalées là où c’est nécessaire. Le Moto X. Source: Engadget. De l’autre côté de l’Atlantique, le dernier fleuron de Motorola alimente de manière considérable les débats avec la parution de nombreux tests dans les publications spécialisées. A quelques très rares exceptions, l’enthousiasme triomphe. Mais contrairement aux premiers articles dithyrambiques, les journalistes soulignent quelques côtés négatifs comme un traitement photographique aléatoire ou un écran Amoled un peu trop criard et d’une définition décevante. Ce qui revient régulièrement sur le tapis, c’est le prix et la comparaison technique avec la concurrence. Dans ce cadre, Le Samsung Galaxy S4 et le HTC One sont considérés comme des appareils plus durables, capables d’anticiper des évolutions plus gourmandes d’Android. La question se pose, par exemple, sur l’absence d’annonce sur le support, rapide ou non, de Jelly Bean 4.3. Contacté par le magazine AllThingsD à propos de ces critiques, le patron de Motorola a répliqué qu’au delà de 720p sur un écran de 4,7 pouces, le niveau de vue d’un faucon était nécessaire pour constater une différence avec la norme 1080p. Les yeux d’un homme ne nécessitent pas la haute définition pleine sur ce type d’appareil, la densité de pixels proposée étant largement suffisante. Toujours selon Dennis Woodside, son entreprise a choisi un haut niveau d’optimisation dans sa variante d’Android contrairement à une course aux meilleurs composants, ce qui explique un prix similaire aux smartphones haut de gamme. Ensuite, en ce qui concerne la stratégie industrielle, le Moto X est un point de départ pour le travail en cours sur de nouveaux produits. Quel que soit le succès du smartphone, cette philosophie perdurera. On en parle sur le forum