Loveflutter est un nouveau site de rencontres en ligne qui propose de faire la connaissance de son âme soeur en utilisant le Knowledge Graph de Google. Les sites de rencontres de demain utiliseront-ils tous les réseaux sociaux et Google pour permettre à leurs utilisateurs de mettre la main sur l’élu de leur coeur? A en croire Loveflutter, cette nouvelle approche ouvre de nouvelles possibilités aux utilisateurs, qui ne devront plus courtiser plusieurs dizaines d’internautes simultanément pour espérer obtenir des résultats. L’idée est simple : plutôt que de baser ses recherches sur l’âge, la couleur des cheveux ou le statut des autres membres, l’utilisateur cherche avant tout une personne qui lui correspond. Néanmoins, les informations renseignées sur les sites de rencontre sont souvent incomplètes, voire très peu fiables. Raison pour laquelle les concepteurs de Loveflutter ont choisi d’introduire une fonction de recherche exploitant le Knowledge Graph de Google. L’outil analyse les données des utilisateurs et définit ses principaux centres d’intérêt pour trouver une correspondance parmi la communauté Loveflutter. L’utilisateur peut également entrer la totalité de ses centres d’intérêt Facebook pour affiner la recherche et obtenir un croisement des données qui permettra de définir le ou la prétendante idéal(e). “Loveflutter enlève le stress de la rencontre en ligne et permet de s’assurer que le premier rendez-vous se déroule bien” explique Daigo Smith, le co-fondateur de la startup britannique. “Utiliser le graphe d’intérêts permet de briser les barrières au premier rendez-vous puisque les deux personnes ont immédiatement des sujets de discussion qui leur parlent.” Le système va même beaucoup plus loin puisqu’il offre une intégration poussée de Foursquare, qui suggère des idées de rendez-vous en fonction de la géolocalisation des deux tourtereaux et de leurs centres d’intérêt. Si l’idée est plutôt intéressante sur le papier, le concept a néanmoins de quoi effrayer puisque Loveflutter ne se prive pas pour fouiller tous les centres d’intérêt de l’utilisateur. Certes, celui-ci doit préalablement donner son accord, mais encore faut-il être suffisamment ouvert pour permettre au service en question d’accéder à toutes ces données privées, qui ont la plupart du temps une réelle valeur marchande. On en parle sur le forum. [ Source : Mashable ]